Philippe, c’est d’abord un ami – et j’étais évidemment ravi de le recevoir chez nous pour qu’il nous explique son parcours, que je connaissais finalement assez mal.
L’histoire de IES, c’est un peu une leçon d’opportunisme et de constance dans la direction, deux dimensions parfaitement complémentaires.
Philippe nous livre ses moments clés sans escamoter les moments compliqués, depuis l’origine jusqu’à ce qui est devenu un des premiers vendeurs automobiles français.
La conclusion : Fonce, mais garde tes valeurs.
Ah oui, on s’est un peu éloignés des volcans pour se rapprocher du Bourbonnais, mais on reste en Auvergne (administrativement en tout cas)!
Comme d’hab, vos retours sont bienvenus et appréciés !